Télégramme.Info

Top Menu

  • Qui sommes nous ?
  • Recrutement
  • Publicité
  • Contactez-nous

Main Menu

  • Accueil
  • A la une
  • National
  • International
  • Régions
  • Société
  • Politique
  • Economie
  • Insolite
  • Sport
  • بالعربية
  • Qui sommes nous ?
  • Recrutement
  • Publicité
  • Contactez-nous

logo

Télégramme.Info

  • Accueil
  • A la une
  • National
  • International
  • Régions
  • Société
  • Politique
  • Economie
  • Insolite
  • Sport
  • بالعربية
Culture
Home›A la une›Le maître de la chanson chaâbi algéroise n’est plus

Le maître de la chanson chaâbi algéroise n’est plus

30 novembre 2016
1062
0

Amar Ezzahi, la plus grande figure du châabi, la musique populaire algéroise dérivée de l’andalouse, est décédé mercredi à l’âge de 75 ans après avoir mené une vite d’ascète, ont rapporté les médias.

L’annonce de son décès a immédiatement couru sur les réseaux sociaux et faisait l’ouverture des journaux télévisés. Des centaines de fans se sont rassemblés devant son domicile où s’est rendu le ministre de la Culture, Azzedine Mihoubi.

Amar Ezzahi (le joyeux), de son vrai nom Amar Ait-Zaï, a passé la majeure partie de sa vie près de la vieille ville d’Alger où il était arrivé très jeune, après sa naissance dans un village de Kabylie en 1941.

Son répertoire compte des dizaines de chansons enregistrées à partir de 1963. Des fans les ont regroupées sur internet au moment où sa santé déclinait ces dernières années.

L’artiste a mené une vie d’ascète: il n’était pas marié, n’avait pas d’enfant et a toujours refusé d’encaisser ses droits d’auteurs.

Il fuyait les médias et les salles de concerts, ne chantant qu’en cercle intime durant les fêtes. Les cafés et les terrasses des maisons étaient sa scène préférée.

“Il était dans un détachement absolu des choses matérielles de la vie”, témoigne un des rares journalistes à l’avoir connu, Noureddine Khelassi. “Il était voué au bonheur des siens à travers son art”, ajoute le chroniqueur du quotidien La Tribune.

Le chanteur sera enterré jeudi au cimetière El Kettar à Alger près du plus illustre interprète algérois, Hadj M’hamed el Anka, décédé en 1978. Une prière des morts sera célébrée dans une mosquée située près de la Casbah.

TagsNewsflash

Dérnières articles Lire plus

  • International

    Europe: La revue de presse quotidienne

    27 novembre 2015
  • Politique

    SM le Roi Salue le soutien inébranlable du Sénégal à la cause nationale du Royaume

    6 novembre 2016
  • Tourisme et loisirs

    Des quotas de pêche instaurés pour l’espadon de Méditerranée à partir de 2017

    21 novembre 2016
  • International

    La revue de presse quotidienne européenne

    9 décembre 2015
  • NationalPolitique

    Après les verdicts prononcés par la Cour d’appel de Nador: Grosse anxiété des concernés dans le Souss

    19 avril 2016
  • Général

    Les autorités de Guelmim procèdent à l’enterrement de Ibrahim Sika

    4 août 2016

RETROUVEZ-NOUS SUR SOCIAL

Dernières Articles

Chronique

A vrai dire: Ouvrons les frontières !

  • Agadir: Safari Parc, le zoo des lions, ouvrira ses portes fin 2022

    24 janvier 2022
  • Les infrastructures sportives d’Agadir se renforcent

    24 janvier 2022

PUB

Sport

Sport

Un seul cas positif au Covid parmi les Lions de l’Atlas

  • Voici l’arbitre qui officiera le match Maroc-Malawi

    24 janvier 2022
  • CAN : la Tunisie élimine le Nigéria !

    23 janvier 2022
  • Basketball : La FRMBB et son homologue israélienne conviennent de renforcer leur coopération

    22 janvier 2022
  • Lions de l’Atlas: Fajr et Alakouch absents du dernier entraînement

    22 janvier 2022
  • Qui sommes nous ?
  • Recrutement
  • Publicité
  • Contactez-nous