L’Algérie ouvre à la candidature à conditions limitées pour le poste de «Abdelaziz »

La fumée, provoquée par la puissante réponse marocaine aux déclarations de Ban Ki Moon et l’état de santé critique du chef du Polisario qui s’est fait greffer un poumon artificiel, a fait sortir les hyènes algériennes de leurs trous et ont organisé, à Alger, en compagnie des marionnettes du front factice, une réunion d’urgence pour contrecarrer les renversements de situation aussi divers que précipités concernant l’affaire du Sahara Marocain.
Ce conseil , considéré comme incitation à la guerre pour intimider le Maroc, cherchait à donner une légitimité aux actions du front en l’absence de son patron et à préparer le transfert fluide de son autorité à un candidat obéissant aveuglément aux décisions et souhaits du pouvoir algérien. Ce futur chef doit également avoir une expérience militaire et une appartenance tribale, ce qui a attisé la concurrence entre un certain nombre de prétendants au poste.
Les conditions requises favorisent largement Ibrahim Ghali de la tribu des Reguibat Oulad Taleb et El Bachir Mustapha Sayed appartenant à la tribu des Reguibat Tahalat.
Néanmoins, ce sont les généraux algériens qui détiennent les ficelles et éliront un « Président » à leur guise pour augmenter la souffrance des détenus dans les camps de Tindouf et étendre le plus longtemps possible ce conflit artificiel qui n’empêche pas le Maroc de persévérer dans la voie du développement et de la démocratisation des institutions.
Jamal Khayr Eddine