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CoulissesCulture
Home›A la une›FIDADOC : Un festival cinématographique lamentable pour un soutien grandiose

FIDADOC : Un festival cinématographique lamentable pour un soutien grandiose

11 mai 2016
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 Bien qu’il soit Arrivé à sa 8ème édition, le festival international du film documentaire d’Agadir « FIDADOC » continue de réaliser les pires résultats puisqu’il rencontre des difficultés énormes à convaincre le public Soussi d’assister à ses spectacles malgré un soutien des plus généreux octroyé par la mairie et le conseil régional de la région de Souss Massa d’une part et du Centre Cinématographique Marocain d’autre part.

En effet, et selon des sources concordantes, le soutien en question est estimé à plusieurs millions de dirhams, un montant complètement suffisant pour organiser une manifestation artistique d’une grande envergure à l’instar des festivals réussis d’Agadir. Cependant, la prestation du FIDADOC reste extrêmement limitée, voire inexistante vu que les sièges de la salle Ibrahim Radi, accueillant le festival,  demeurent vacants même si la capacité totale de la salle ne dépasse pas les 300 places.

Par ailleurs, les pourvoyeurs continuent de financer, édition après autre, chaque année, et n’ont jamais décidé de revoir leur subvention en dépit de la médiocrité navrante de ce festival et de son inefficacité accablante. De surcroît, le conseil régional actuel a réservé un soutien financier  important quoique ses dirigeants parlent ces jours-ci de rationaliser les dépenses et de favorises les projets artistiques montrant un certain sérieux et  une certaine fiabilité.

En revanche, ce festival a beau tenter, cette année, de changer de stratégie en allant signer une convention avec une société privée spécialisée en communication, en conviant les journalistes à une conférence de presse avant la cérémonie d’ouverture, mais ces dirigeants n’ont pas réussi à réaliser leurs objectifs, car on a trouvé des difficultés à persuader les représentants de presse d’assister aux activités programmées, si on exclut une chaîne télévisuelle nationale qui persiste à porter son soutien médiatique  en raison des rapports personnels qui lient le directeur du festival à un cadre éminent à l’intérieur du canal en question.

Ainsi, l’on continue de s’étonner à Agadir de l’intérêt d’un tel festival qui ne participe guère ni à l’animation culturelle ni à la promotion touristique dans la ville, à cause du nombre trop restreint des réalisateurs invités de même que l’absence d’activités parallèles telles que les ateliers de formation en faveur de la jeunesse de la ville dans les domaines de la réalisation des films documentaires et de la préparation à ce type de métrages.

En plus, il ne faut pas omettre de signaler la façon tellement étrange avec laquelle l’ancien coordonnateur du festival désigné par la présidente fondatrice, est devenu président effectif malgré l’opposition des co-fondateurs qui ont préféré démissionner de l’association directement après le décès de la conceptrice. Toutefois, ceux qui ont décidé de rester, ont eu la mauvaise surprise de se faire refuser tout éclaircissement sur les transactions financières et les justificatifs de dépenses. Ils ont même été conviés à signer des pièces d’homologation sur le compte financier, chose à laquelle ils se sont nettement opposé en raison des reproches qu’ils émettent quant à la transparence de la gestion financière. Ces anciens dirigeants ne sont pas au bout de leurs peines, puisque le nouveau directeur du festival a décidé de constituer un autre bureau exécutif de l’association sans pour autant les avertir ou les convoquer contrairement aux clauses de l’Association de la Culture et de l’Education par l’image qui préconise, entre autres, d’obliger le bureau exécutif et le conseil d’administration à homologuer le compte financier avant de l’exposer à l’assemblée générale.

«  Ce qui se passe aujourd’hui est de la pure machination. C’est de la manigance d’un profiteur qui a assassiné les efforts de tous les intervenants qui ont rêvé d’un projet prometteur » affirme un ancien dirigeant de ce festival.

Jamal Kahyr Eddine

 

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